Monatsarchiv für April 2010

Le capital social – méthode d’évaluation chiffrant les richesses sociales

La crise financière persistante et les évènements en Afrique du Nord montrent qu’il est urgent de réviser les paramètres utilisés jusqu’à présent pour évaluer la stabilité des économies nationales. Notre institut vient tout juste de calculer un Global Index Benchmark comprenant huit index principaux – dont entre autre le Human Development Index (voir en attaché).
Le résultat : En somme totale les huit index ne divergent que de peu du placement d’après le produit intérieur brut (PIB).

Aucun de ces index – le Happy Planet Index ne fait pas exception – ne propose des nouvelles idées pour les pays en voie de développement. Il est pourtant de fait, que la politique dedéveloppement se trouve confrontée à un changement de paradigme : de l’homo oeconomicus à l’homo socius.

Les cycles d’innovation dans la politique de développement dépendant fortement des cycles politiques, il est souvent impossible de tester et mettre en place en temps voulu des idées
innovatives. Bien souvent les intérêts politiques et la volonté de certains de conserver leurs acquis empêchent les innovations de voir le jour dans l’économie du développement.
De plus, une grande partie de l’économie du développement unversitaire – en France et en Grande Bretagne notamment – s’est focussée sur la politique de globalisation en général.

Le résultat : en ce qui concerne l’aide au développement, dans la pratique, l’économie du développement est à peine représentée avec des méthodes d’évaluation et de promotion
innovatrices.

Le microcrédit – la seule innovation des dernières décennies dans ce domaine – a fait la une des journaux en raison de taux d’intérêts exhorbitants, d’offreurs douteux et de la crise de Muhammad Yunus.

Notre institut, qui jusqu’à présent est exclusivement financé par des moyens privés, a réalisé certaines projets pilotes – au Népal, à Sao Paulo et à Bâle – qui ont évalué pour la première fois le capital social local. Nous avons développé un instrument d’évaluation des communautés extrèment bon marché nommé le Social Capital Monitor. Cet instrument est simple à appliquer, il peut être utilisé par les coopérants à l’aide au développement et reçoit l’approbation des concernés. (voir les documents attachés).

A l’aide du Social Capital Monitor, il est pour la première fois possible de chiffrer des données sociales telles que la confiance, les services rendus et les cadeaux et d’évaluer par la mêmeoccasion les changements du climat social aux niveaux local, régional et national.

Le recensement et le développement du capital social est un moyen optimal pour l’aide au développement d’apporter une aide effective avec des méthodes non-monétaires et d’optimaliserles aides apportées jusqu’à présent.

Ceci d’autant plus que les coûts de transaction – particulièrement dans l’aide au développement – dépendent entièrement du capital social local ; son absence engendre des coûts élévés pour la sécurité, la santé et le système social.

Notre institut ne dépend d’aucune université et a un besoin urgent d’aide financière afin de pouvoir proposer aux supports locaux de l’aide au développement le Social Capital Monitor comme le Local Commons Report sans frais et de les aider à évaluer les dates recueillies.

 

Directeur d’Eurostat Walter Radermacher (gauche) à Bruxelles avec Alexander Dill (droite)

 

Il a prises trois ans pour les économistes universitaires ont découvert que le Harvard-étoiles Kenneth Rogoff, et Carmen Reinhart ont mal calculé.

Après la publication des derniers chiffres d’Eurostat du 22 Avril 2013 notre institute a constaté que, en 2012, l’Europe l’a fait beaucoup mieux comme indiqué officiellement.

Il a fallu un jour pour l’Institut de Bâle de vérifié les chiffres publiés par Eurostat le 22.04.2013 et résumé les résultats.

Italie, France, Grande-Bretagne et l’Allemagne ont considérablement augmenté leurs revenues en 2012.

En comparaison avec les chiffres des Etats-Unis, donc nous ne pouvons pas parler d’une crise de l’Euro. Entre 27 Etats de l’UE, de sorte que notre calcul, en 2012, seulement deux avait perdu des revenus significantes.

Comme le cas Rogoff / Reinhart a montré, le critère de Maastricht discrimine les pays européens, depuis les Etats-Unis parait trop bien avec 107 pour cent dette du PBI.

Nous publierons comme une alternative pour le critère de Maastricht sur l’31.5.2013 à Bruxelles pour la première fois le critère de Bâle.

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admin am 09. April 2010 in Allgemein